Toutes deux continuent l’œuvre de Sœur Emmanuelle dans un des bidonvilles du Caire où vivent les chiffonniers, avec deux priorités comme le souhaitait Sœur Emmanuelle :
- Privilégier l’éducation des enfants pour ne pas faire de ces enfants “des mendiants”. Face à une situation d’urgence : analphabétisme, maladies, misère frappant une population survivant sous la tôle et les cartons, l’argent que sœur Emmanuelle avait pu recueillir a effectivement servi à construire une école et un dispensaire au milieu de ce qui était un immense bidonville … Aujourd’hui près de 1000 enfants sont scolarisés.
- Faire diminuer la violence et permettre aux femmes de se libérer. Un lycée pour filles a été créé.
Elles nous partageront cette vie au quotidien avec eux.
“Mes vingt-deux ans dans le bidonville ont été l’accomplissement de ma vie. Dans la solidarité des pauvres où j’étais immergée, au-delà des bêtes et des ordures, j’y ai connu le vrai bonheur, dans le partage et l’esprit de justice.” Sœur Emmanuelle.
C’est de tout cela dont sœur Sarah et sœur Nada vont témoigner.
Elles passeront toute la matinée du Mardi 17 avec les enfants de l’école Sainte Anne.
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